ami visiteur
salut !
Si tu cherches quelque chose de précis
tu vas un peu plus
loin sur cette page consulter le plan du site,
sinon, tu trouveras
ci-après un aperçu des derniers apports.
Le plan du site est ici >>>>
Décembre 2008, l’heure est à la
contestation.
En cette fin d’année 2008 des contestations
s’élèvent de partout :
On
avait fini par admettre, sans vraie conviction pourtant car l’hypothèse
faisait de
Villemoisson un endroit favorable aux
rhumatismes, que le nom de la ville avait pour
origine le mot moss d’origine germanique
évoquant « un pays humide, ressentant
le marais et la fraîcheur des eaux »
Mais cette façon de voir vient d’être contestée et, à la façon de l’équipe des
affaires classées de Philadelphie, nous avons rouvert le dossier.
On le trouve sous le titre « Cold cases
251e saison , épisode 1, l’affaire Villa Moissum » ici >>>>>
Le
blason de la ville « d'azur au chevron accompagnées en chef de deux
étoiles, en pointe d'un
faisan, le tout d'or,au chef d'argent
chargé de trois canes de sable et membrées d'or » fait
aussi
l’objet de critiques. En particulier, on remarque que les trois petites canes tristounettes qui
y figurent semblent s’y ennuyer profondément. On peut
aussi se demander ce qu’elles veulent
symboliser. Grave question qui mérite réflexion.
C’est l’objet de notre page : « Aux armes, citoyens de
Villemoisson ! » qui se
trouve ici >>>>>
Villemoisson-sur-Orge
et la guerre 14-18
Les cérémonies de
commémoration du 90e anniversaire de l’armistice de 1918 sont
maintenant terminées, les drapeaux ont retrouvé leurs étuis, les discours sont
oubliés
et les verres du pot du souvenir bien rangés dans le placard de la salle
communale
dans l’attente de la soirée du beaujolais nouveau. En haut lieu, on se demande
si on
doit continuer à apprendre l’histoire aux écoliers, à commémorer un peu,
beaucoup,
passionnément ou pas du tout et si les poilus doivent être considérés
comme des
héros ou des victimes.
Pour notre part, sans
attendre de savoir si c’est le moment, si c’est bien ou mal et conforme ou non
aux
programmes officiels des lycées et collèges, nous allons continuer,
anniversaire ou pas, à adopter une
attitude plus modeste : celle du curieux qui veut connaître avant de juger
et donc, à enrichir nos pages
consacrées à la guerre 1914-1918 de tout ce qui pourra satisfaire notre
curiosité. En préférant évidemment
l’aspect humain aux considérations géopolitiques.
Et c’est ainsi que la
mise en ligne par le Ministère de la Défense des Journaux de marche des
Opérations des
unités combattantes de la guerre 1914-1918, en ouvrant de nouvelles
possibilités de recherches, nous
permet aujourd’hui d’ajouter à notre dossier 14-18 deux extraits du JMO du 312è
Régiment d’Infanterie qui
est l’unité à laquelle appartenait Aimé Valette, un jeune Villemoissonnais tué
au combat le 29 septembre 1914
à l’âge de 17 ans.
On trouve l’hommage à Aimé Valette
ici >>>>>>>
Et le dossier Grande guerre, ici >>>>>>
Une
nouveauté !
Les nouveaux cygnes du Breuil
Il se confirme que le couple de cygnes arrivé au Breuil en Octobre 2008
semble vouloir s’y installer. Autour de la pièce d’eau tout le monde s’en
réjouit, d’autant plus qu’ils montrent l’exemple d’un couple d’éperdus
amoureux. De nouvelles images et vidéos le montrent en venant également
compléter la documentation accumulée au cours de la saison 2006/2007.
Sur le site on trouve un diaporama réalisé à partir de photos de Pierre
Esteffe et intitulé « l’oiseau
de l’amour » nom donné au cygne par Buffon. C’est ici >>>>>>
Sur le blog et sur YouTube, le sujet est traité avec vidéos à l’appui
de façon plus légère. C’est ici >>>>>
© Pierre Esteffe
Un
changement !
La belle mais triste histoire des petits
cygnes du Breuil
est
le titre donné à la nouvelle version de la saga de la belle famille de cygnes
qui a animé la pièce d’eau toute la saison 2006/2007. Le texte et les images
sont pour la plupart les mêmes que dans la version originale. La présentation
est plus simple de façon à pouvoir s’adapter aux différents écrans et
navigateurs.
Elle
se lit en cliquant ici >>>>>>
les Saint-Sevin
le site de Villemoisson-sur-Orge La belle mais triste histoire des
petits cygnes
dits L’Abbé, etc.
l’astérisque vert non-off du Breuil
Le blog
Si tu es un habitué des lieux, tu as sans doute remarqué qu’une
cinquième image est venue s’ajouter à celles que tu connais déjà. La petite
dernière conduit à un blog intitulé « Ushuaia-sur-Orge » qui traite
des mêmes sujets que le site, mais dans le style « billet » plutôt
que « page »
Je te rappelle que tu es ici chez toi, que tu fais ce que tu veux en
cliquant sur l’image de ton choix, qu’il est préférable de regarder les pages
de ce site sur plein écran.
Si tu t’invites ici pour la
première fois, il faut que je te dise que :
l’image du musicien conduit dans
une famille de musiciens du XVIIIe siècle fort injustement méconnue, celle des
Saint-Sevin dits L’Abbé, dont l’aîné, Pierre, est considéré comme le premier
grand violoncelliste français alors que son frère Pierre-Philippe, autre grand
violoncelliste, le valait bien et que son neveu Joseph-Barnabé a écrit la
meilleure méthode de violon de son époque.
Tu y apprendras tout de la vie et des œuvres de ces
trois musiciens partis de Bordeaux et d’Agen pour conquérir Versailles et Paris
et tu les verras parvenir au plus hauts niveaux de la musique de
l’époque : la Musique royale, l’Opéra, le Concert spirituel. Non sans
quelques péripéties, dont certaines semblent sorties d’un roman réaliste.
De plus, en à-côtés, tu liras des chroniques sur les
gens et le mœurs du Siècle qu’on dit
« des Lumières ». On y parle justice, médecine, pain, vin,
sous, travail, sexe, mort, misère, etc. Tu y rencontreras tous les grands
musiciens de l’époque, les danseuses et actrices, Casanova, Rousseau, des
aristos, des bourgeois, une courtisane, nos rois, Louis XIV et surtout Louis
XV, des artisans, un perruquier, des voleurs, et bien d’autres, petits et
grands.
Si le sérieux y est de mise avec de nombreux documents
inédits, la tristesse n’est pas pour autant au rendez-vous.
L’image de la petite église mène à Villemoisson-sur-Orge, une ville de
l’Essonne (France) où il ne se passe jamais rien. Ce qui prête à beaucoup dire.
A redire. Et à médire.
Tout cela, pas du
tout officiellement.
Et pas du tout
méchamment.
Evidemment.
Il est ici question de choses et
d’autres qui amusent, fâchent, désolent ou intéressent : un vrai faux
héros local, un cardinal oublié, de vieilles maisons , de vieux murs, de vieux
papiers qui nous racontent le passé, des règlements absurdes, le nombre de
lignes de la facture d’eau, les voitures, les vélos, les piétons, le chat des
voisins, quelques images. Une suite de chroniques plus ou moins sérieuses.
Plutôt moins que plus. On ne peut pas pleurer de tout.
On y trouvera aussi quelques documents
sur le temps où Villemoisson n’était qu’un tout petit village. Des inédits,
pour la plupart.
Sur la pièce d’eau du Breuil vivait depuis quelques
années un couple de cygnes qui a eu l’idée géniale de construire tout près du
chemin qui borde le plan d’eau le nid où la femelle est venue pondre sept oeufs
en avril 2006. Et c’est ainsi que les habitués des lieux qui ne pouvaient que
le remarquer, se sont arrêtés auprès du nid, se sont parlés et qu’il s’est
constitué autour de l’événement une sorte de club qui a suivi jour après jour
toutes les étapes de la couvaison, de la naissance et de l’apprentissage des
nouveaux-nés. Extraordinaire et merveilleux spectacle en même temps qu’une
grande leçon de sciences naturelles.
Exceptionnel spectacle qui a été raconté
ici sous forme de feuilleton avec le concours de photographes animaliers
amateurs.
Mais qui s’est achevé en avril 2007 de
façon lamentable par la blessure su cygne mâle et le départ de la femelle.
Parce que l’histoire est belle nous
l’avons conservée telle quelle pour lui laisser son caractère de découverte en
attendant de lui donner une forme plus « historique ».
Quant à l’astérisque vert, il mène au site de l’astérisque vert ou tu
verras et entendras ce que tu verras et entendras. C’est tout dire et ça ne se
raconte pas.
C’est une
expérience qu’il faut vivre.
Trois
concours ont été organisés sur ce site avec des succès plus ou moins grands.
Pour
le premier, il s’agissait de trouver à quelle date a été prise la photographie
aérienne de Villemoisson qui figure sur le site Google Earth. En désespoir de
cause, et parce que personne n’a cru devoir s’y atteler sérieusement, il nous a
fallu nous y coller. D’où une série de pages intitulée :
« Les experts Villemoisson-sur-Orge »
on
les retrouve ici >>>>>
Le deuxième concours avait pour sujet la date du passage à Villemoisson
de Joseph Joséphin et de son ami Sainclair.
voir ici >>>>
C’était facile, mais je crois ne jamais avoir
donné la réponse qui était le 26 octobre 1892. C’est en effet ce jour-là que
Rouletabille (dont le vrai nom était Joseph Joséphin) est descendu du train à
la gare d’Epinay-sur-Orge avec son ami Sainclair pour aller à pied jusqu’au
Donjon de Sainte-Geneviève-des-Bois où Mathilde, la fille du célèbre Docteur
Stengerson, venait faire l’objet d’une tentative d’assassinat dans une chambre
pourtant complètement close.
Gaston Leroux a raconté tout cela dans Le Mystère de la chambre
jaune et c’est l’ami José qui le premier a trouvé la bonne réponse. Le prix
(un fort joli vase) qu’il a gagné ne lui pas encore été remis, sa femme
Françoise ne semblant pas d’ailleurs pas encore trouvé l’endroit idéal pour le
mettre en valeur.
Le
troisième concours devait durer tout l’été 2008 mais ne tiendra que le temps de
quelques questions. Les passionnés de concours pourront toujours chercher.
c’est ici >>>>
Les
réponses seront données sur le blog.
réclamations, félicitations, interrogations, subventions
c’est
ici >>> e-courrier
vlak ici >>>
édition du 5 décembre 2008